Le document L’utilisation des écrans en contexte de pandémie de COVID-19 — Quelques pistes d’encadrement « vise à réviser les connaissances et les recommandations entourant l’utilisation des écrans chez les enfants et les jeunes et à proposer des orientations en ce qui concerne les principaux messages qui devraient être véhiculés afin de sensibiliser la population aux risques d’une surutilisation des écrans en contexte de pandémie. Une attention particulière est portée aux effets des écrans chez les jeunes, étant donné qu’ils sont de plus en plus exposés dans leurs différents milieux de vie et qu’ils constituent la cible de la plupart des recommandations existantes. »
Un des messages clés qui ressort de ce document est que « malgré l’utilité et les effets bénéfiques indéniables des écrans, leur usage excessif est associé à de nombreuses répercussions sur la santé physique, développementale et psychosociale des enfants et des adolescents. Quelques risques documentés incluent notamment : la sédentarité, l’obésité, les troubles du sommeil, les problèmes oculaires, l’isolement social, les troubles de conduite et émotionnels, les problèmes relationnels, les retards de langage, les troubles de l’attention et les difficultés scolaires ».
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Le document Exposition des jeunes à la violence dans les jeux vidéo et les médias sociaux : considérations dans le contexte de la pandémie de la COVID-19 met en contexte que « bien que les préoccupations concernant l’exposition des jeunes à la violence dans les médias ne soient pas nouvelles, la progression fulgurante de l’usage des médias sociaux par les jeunes […], la multiplication des plateformes d’accès à Internet ainsi que les transformations des modalités pour générer et partager du contenu en ligne suscitent de nouvelles questions sur les risques possibles pour la santé physique et mentale, la sécurité et le développement des jeunes. […] L’augmentation du temps consacré aux médias sociaux et aux jeux vidéo peut exposer les jeunes à un plus grand risque de subir de comportements violents sur Internet (ex. : se faire menacer, se faire intimider). Les enfants et les adolescents n’ont pas nécessairement toutes les connaissances et compétences pour se protéger lorsqu’ils sont en ligne, ce qui les rend plus vulnérables au cyberharcèlement et à l’exploitation sexuelle sur Internet. Par ailleurs, la diminution d’interactions sociales directes en raison du confinement peut amener les jeunes à prendre plus de risques lors de leur utilisation des médias sociaux (ex. : en partageant des images à caractère sexuel) (UNICEF, 2020) ».
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